en désordre :
une grande colère des instants solennels un formidable coup de pied au cul une jarretelle un instant aperçue une classe d'enfants fous de rire Mes jolis souvenirs de 68
des mots, des photos et des images,les fantaisies d'une ceriz
une grande colère des instants solennels un formidable coup de pied au cul une jarretelle un instant aperçue une classe d'enfants fous de rire Mes jolis souvenirs de 68
Il était parti en voyage Entre de nombreuses mains ouvert et généreux avait vibré sous d'autres yeux. Il avait fait sourire et ému d'autres sensibilités Je le croyais en Papouasie, il était en Patagonie Demain il sera là et regagnera sa place sur l'étagère...
Pour en-visager la vie Cerise a ouvert le rideau elle était là, sans fard son rimel coulait Pourtant dans un pot sur le bord de la fenêtre de nouvelles graines germaient
C'est dans la cuisine au milieu des confidences aux épices, des rires confit s et des salades que se mitonnent les petits plats et l'amitié
Silence : les Tibétains seront massacrés. Silence : C. Sébire mourra dans d'horribles souffrances. Et notre langage érudit d'homme post-modernes ravaudera les grossières béances de notre morale afin qu'elle se nomme "éthique".
Surpris dans son mouvement le temps retient l'après les corps étirent l'instant figé et par touches volatiles expirent la lumière couchante L'air flotte de points en suspension
Quand à 1 heure 30 du matin sur une chaîne du service public Eric Z. homme de media, proclame avec force et conviction : les femmes du MLF revendiquant "Un enfant quand je veux" poursuivaient le désir de devenir des hommes. Je pars alors m'envelopper...
Tout semblait perdu cessant de scruter le sable cerise leva les yeux le bonheur nonchalant sur son trapèze s'en balançait
Parfois dans le creux encore chaud de la raison un rêve d'enfant recroquevillé étire un bras, une jambe et le jour se met à pétiller
Parfois ma tristesse ressemble à celle des pierres alors comme elles je laisse croître le lichen